Martine LHUISSIER, déléguéh du Président Eric CIOTTI

Paris le 27 mai 2015

Jacques BIDALOU

Magistrat honoraire

à

Mme Martine LHUISSIER

Délégué du Président Eric CIOTTI

0BJET : Votre mépris absolu de la justice française

Vous êtes, Madame, et je le découvre un peu plus chaque jour qui passe, d’une formidable rouerie, agissant véritablement sans âme ni conscience, sans pudeur ni décence, sans foi ni loi, pour réussir à tromper les juges et la justice, aux fins de maintenir la rétention qui vaut aujourd’hui criminalité avérée de séquestration avec les plus sérieuses circonstances aggravantes,  des enfants Harry ( 12 ans) et William ( 8 ans) , enfermés depuis le 5 mai au sinistre Foyer La Parenthèse de La Trinité à la publicité mensongère, après y avoir déjà passé tout les mois de novembre et décembre 2014 dans une situation des plus scabreuses, totalement étrangère aux garanties de la Charte Internationale des Droits de l’Enfant qui marquent des engagements internationaux de la France mais que vous tenez visiblement pour de la crotte de bique… c’est ce qui explique l’interdiction de parler japonais et la malédiction permanente sur la culture japonaise !

J’ai bien compris que l’ordonnance de suspension d’exécution qui a été rendue le 17 décembre 2014 par la Première Présidente de la Cour d’appel de Paris a déchaîné votre colère, a mobilisé votre hargne et a décuplé vos capacités de mensonges, de manipulations, de désinformations.

Je me réfère ici à votre rapport du 15 janvier 2015 adressé aux juges de la chambre 3-6 de la cour d’appel de Paris ( sur quel fondement, sinon celui d’une ordonnance du 29 octobre 2014 privée de tout effet exécutoire et qui sera d’ailleurs dans les mois qui suivent renvoyée au néant !) pour rassembler des rapports échelonnés mais qui suivent tous votre connaissance de l’ordonnance du 17 décembre 2014 qui a déclenché votre fureur, soit « la note d’information préoccupante » du 19 décembre 2014 établie sans vergogne par les « éducateurs » du foyer La Parenthèse-, votre courrier du 30 décembre 2014 adressée à une substitute anonyme, mais sans doute fort connue de vous, du Parquet de Grasse où vous étalez cyniquement toute votre turpitude constitutive en faisant état de vos alertes des juges parisiens NOVELLA et BARANGER pour contrer l’ordonnance du 17 décembre 2014, et en racontant misérablement que « depuis le placement ( de fin octobre 2014) Mme O. n’a pas utilisé ses droits de rencontre médiatisée,, alors que vous avez attendu fin novembre pour lui signaler le lieu de rétention de ses enfants, et que vous lui avez toujours opposé que « le foyer n’est pas équipé pour les visites médiatisées »—- il ne l’est toujours pas en mai 2015 !—– et enfin le rapport du 5 janvier 2015 établi qu’ils disent par l’éducateur spécialisé MELLANO à la boucle d’oreille et tatouages divers , directement adressé lui aussi aux juges de la chambre 3-6… de quel droit on se demande !

Je constate que vous faites aussi état dans votre « rapport final » du 15 janvier 2015 d’une « note d’incident du 1er janvier 2015 du foyer de l’enfance Villa La Parenthèse »… je voudrais bien connaître cette Note parce que j’ai moi aussi un témoignage direct à apporter sur cer « incident » du 1er janvier 2015, comme d’ailleurs les jeunes gens de l’association WantedPedo dont la présence s’est avérée finalement indispensable face à cette coalition factieuse arcboutée pour ne pas faire droit à l’ordonnance de suspension du 17 décembre 2014, pour continuer d’écoeurer et de démoraliser la mère des enfants, pour manifester toujours un mépris absolu de la justice et des juges !

Vous êtes une menteuse avérée, comme Mme Myriam BADAOUI de sinistre mémoire qui prétend aujourd’hui avoir menti « par orgueil … et vous , vous mentez pourquoi, pour qui, nourrir le marché aux enfants, rentabiliser les foyers d’accueil , détruire les liens familiaux pour mieux propager les pires saccages, développer le racisme contre tout ce qui n’est pas à hauteur de votre nombril ? Je ne veux pas croire que vous obéissez seulement aux ordres de M. le Président Eric CIOTTI qui me paraît d’une intelligence sociale mieux adaptée que la vôtre aux exigences de la société contemporaine !

En tout état de cause, je vous invite à rendre Harry et William à leur mère, alors même que vous savez que leur père ne tient vraiment pas à en avoir la garde… sauf s’il lui est garanti qu’ils resteront en réalité placés … sans frais pour lui !

Tour cela est pitoyable.

Copie du présent courrier-faxé est adressé pour information à M et Mme les Chefs de Cour de la Cour d’appel de Paris, à M. le Défenseur des Droits, aux Membres du CSM saisis de ma plainte disciplinaire, ainsi qu’à M. le Président de la République, Chef de l’Etat.

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