Il est dommage que votre modernisme n’aille pas jusqu’à affronter les canailles au long cours qui pourrissent en France l’institution judiciaire.
Je vous adresse en tout cas quelques unes de mes conclusions de partie civile déposées devant la Cour d’appel de Paris dans le procès de M. Jérôme CAHUZAC.
Et il faudra bien que cela finisse par servir la manifestation de la vérité.
Je vous remercie de votre haute attention, et vous prie d’agréer, M. le Président de la République, l’assurance de ma très haute considération.